Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Petit Roseau au gré du vent, du temps, des mots, quelques photos.
24 octobre 2016

~ Comme cette feuille ~

Qui suis-je dans ce monde en déroute.
Comme cette feuille, cette autre,
je vais, je viens, je doute.

Mon sourire s’éclaire parfois,
entre ombre et lumière,
surtout lorsque je pense à toi.

Laisse le temps passer,
Laisse le temps aller,
Laisse le temps se poser.

Surtout, n’oublie jamais,
toi ici, moi là-bas,
le lien de nos pensées
est pour l’éternité.

Qui suis-je dans ce monde en déroute.

Comme cette feuille, cette autre,
je vais, je viens, je doute,
je ne suis  qu’une feuille
qui tombe parmi tant d’autres…

1

© Texte & Photo-Montage  Nathalie K

22 octobre 2016 ~ 21 : 02

1

© Photo-montage_Nathalie K

 

Publicité
Publicité
15 avril 2018

~ Elle me l’avait bien dit ma chouette ~

Hier soir, à quelques arbres de mes fenêtres, la chouette me l’avait bien dit qu’elle prenait ses quartiers d’été ! J’étais dubitative quant à son chant rassurant, il annonce en général la chaleur qui s’installe.

Et pourtant…

L’appel des jardins en fleurs, le parfum des lilas qui commence à paraître, les tulipes rouge et or, jonquilles et pâquerettes, impossible de ne pas chausser ses baskets, pour partir le nez au vent du jour.

C’est ce que j’ai fait.

Sous un soleil qui avait fui mon ciel depuis quelques jours, et qui, comme pour s’excuser de son absence, m’a offert en cadeau la douceur bleue du ciel que j’aime, j’ai rejoint à petits pas le chemin de mes collines.

Le pourtour de « mon » château est cette année plus bruyant qu’à l’habitude. En effet, son parc se prépare à accueillir marcheurs à l’affut de bio découvertes, concerto pour piano et cigales…

J'ai laissé sur le chemin du retour quelques derniers regards sur le cours de ma rivière qui chantonnait heureuse d’avoir tout autour d’elle une myriade d’iris, de grands beaux boutons d’or.

Enfin, me voilà arrivée à la maison en disant :

« il fait trop chaud, je n’en peux plus, à boire par pitié » tout ça tout en soufflant.

“Elle me l’avait bien dit ma chouette qu’il ferait beau dimanche”

1

© Texte Nathalie K

 15 avril 2018 ~ 19 : 57

1
1

11 janvier 2017

🌸 🍀 ✍️ Moi, je t’aimais...

En ces temps troublés, je sentais bien que chacun se recroquevillait.

Faire semblant, trouver des expédients, partir, parler, écrire, penser en aparté. Certains laissent même croire à un silence de sainteté, puis, en souris, se glissent par tous les trous de serrure.

Quand la balance n’est plus en équilibre, tout tombe et disparaît.

Je ne sais à cette heure où tu pouvais bien être, mais il y a longtemps que je ne t’entends plus.

Sans doute penses-tu que brille près de moi un soleil ou un autre, qu’à ses pieds je me prosterne telle une belle idiote. C’est bien mal me connaître. Toi seul a la clé de la porte du cœur. Ne la prête à personne, garde là juste pour toi. J’aurais tant voulu qu’elle soit qu’entre tes mains, juste pour ton regard, pour les soirs de cafard.

J’ai dû me tromper. Ton amour n’était qu’un feu de paille qui t’a souvent fait rire, mais pas vraiment m’aimer.

“Ainsi va la vie, qui n’en finit pas, comme la roue de tourner.
Moi, je t’aimais…”

1

© Texte  Nathalie K
18 décembre 2016 ~ 19 : 10

© D’après une peinture de Delphin ENJOLRAS

 1

(c) Delphin Enjolras

4 janvier 2018

✍️ Condamnés à nous aimer ~ 🔹🔹🔹

Il fallait bien se rendre à l’évidence, nous étions condamnés à nous aimer.

J’ai essayé de t’oublier, je me suis obligée à sans cesse me répéter que tu n’étais qu’une illusion perdue, un joli rêve pour avancer, un point marquant à disparaître.

Non et non, rien à faire.

Ce trait d’union gravé au plus profond de moi, ne me lâche pas, ne me quitte pas.

Le commun des mortels aurait éclaté de rire si je lui avais raconté le fil de notre histoire. Si je ne le vivais aussi intensément, sans doute que j’aurais ri aussi de bon cœur.

Aujourd’hui, le ciel couvert de gris laisse entendre le chant du vent et de la pluie. Mes pensées tourbillonnent d’un bout à l’autre du jour ou de la nuit, ne me laissant pas un instant de répit.

Dis-moi amour, quand donc pourrais-je enfin tourner la page ? Á moins que non, écrire une nouvelle page.


Sans eux, juste « Toi et Moi »...

 

1

 

© Texte  Nathalie K
03 janvier 2018 ~ 16 : 34  

 

 1

1_

 

 

28 juin 2018

~ Erotic dream ~

De mes rêves éro’ tics
Elle en faisait des pics
Qu’avait-elle cette vieille bic
A écouter aux por’ tics

Sleepy Time Gal - Gil Elvgren 1944__ 5

Amours luna’ tic
En va & sex’ it
Hormonaly’ tic
Qui t’emmerdent et te pic

J’en riais, j’en riais,
Carla bic
A l’oreille ô blic
N’avais rien d’éro’ tic
Juste une langue qui pic
Porque porc et pic.


1

© Texte & Photo  Nathalie K
26 juin 2018 ~ 16 : 33

 © Peinture “Sleepy Time Gal” de Gil Elvgren (1944)

1

 

 

Publicité
Publicité
7 mars 2019

~ Jusqu’à la fin de la nuit des temps ~

Tu peux me faire confiance, ce qu’il y a de bien avec moi c’est que je ne suis d’aucun circuit. Tu ne me croiseras jamais sur aucune route tracée, pavée de flonflons ou de paillettes à moins de faire la fête. Les seuls chemins qui m’attirent sont ceux qui se nomment, émotion dans le cœur, amour en battements d’ailes, regard vrai sur le mien.

Depuis toutes ces années, tu sais ça tout aussi bien que moi. Eux, bien sûr, ne savent rien, ne savent pas.

J’observe en souriant ces moqueurs qui t’entourent. Ils sont si peu de chose, je te l’ai souvent dit, mais bon Dieu que je m’en fous.

2

Si tout autour de ma vie, le soleil brille chaque jour, mon horizon reste encore ciel de gris. Ce n’est pas de mon fait, mais toujours celui des autres.

Qui sont-ils ?

Des autres que l’on ne peut rayer.
Des autres qui me font enrager.
Des autres qu’il m’arrive parfois d’avoir envie de tuer.
Des autres qui ajoutent un frein sur tous ceux que j’ai déjà mis moi-même, inconsciemment, au fil des jours du temps.

Oui, comme une envie de « tout foutre en l’air ».

Tout quoi ?
Tout moi.
Tu plaisantes ?
Non.
Tu penses à moi ?
Oui. Tout le temps.
Alors ?
Alors… alors à ce jour, si tu n’étais pas là ce serait déjà fait.
Arrête de dire des conneries.
Je suis sérieuse.
Pfft !
Peureuse, pas courageuse.

Et…

Et si un jour je venais à disparaître, sache que je t’ai aimé, beaucoup, vraiment, passionnément, intensément, si fort que l’empreinte sera en moi jusqu’à la fin de la nuit des temps.

 

 1© Texte    Nathalie K
05 mars 2019 ~ 17 :45

 1

 

9 avril 2018

~ Tout change, à dire vrai, moi aussi ~

Reprendre le contrôle n’est pas toujours drôle.

Obligée depuis quelques jours d’entrer dans le silence par la faute d’une corde vocale éraflée, par je ne sais quel courant d’air mauvais. Du coup, je suis restée un peu plus longtemps dans la vie et sa fatale réalité.

Finalement, pas très compliqué de ne plus communiquer à l’oral comme à l’écrit. Plutôt simplissime de se désintoxiquer de ces clics, de ces clacs virtuels, numériques, webistiques. Plus retords à gérer les signes et les demi-tons de perroquet étranglé.

Et puis, la question.

Revenir oui ?
Revenir non ?
Revenir oui et non.

La voix,
est revenue en zigzag, indisciplinée. Trop aiguë ou trop grave, en bas volume ou à plein décibels. En véritable rebelle, complètement déchirée, entrecoupée parfois par des aboiements de toux.

L’écriture,
un peu, sans vraiment être là, en surface deci-delà, la juste dose que je veux moi. Sans automatisme de direction, d’obligation, de compassion, juste « en réaction ».

Où je veux, quand je veux, avec qui je veux.

Égoïste ?
Autocentrée ?
Narcisse ?
Timbrée ?
Givrée ?
Flinguée ?
Fêlée ?

Bien oui,
mes silences ne se passent jamais en silence, mais dans l’agitation, toujours plein d’ondulations. Même dans mon sommeil une « peur auditive », un appel de passage, un réveil « tout en  palpitations », insomnie qui s’installe, le cœur qui s’emballe.

Le monde ne va pas bien, autant vous dire que ces derniers jours, moi non plus.

La planète s’inverse et tout change, à dire vrai, moi aussi.

1
En attendant de retrouver un certain équilibre, j’écris ici ces quelques mots pour vous, pour d’autres, pour moi, je ne sais plus vraiment.

Voilà que la « toux moqueuse » se fout sans aucune gêne de moi. Une fois encore, elle me laisse sans voix.

Tant pis, pensais-je, et qui vivra verra…

1

© Texte  Nathalie K

09 avril 2018 ~ 21 : 38

1

 

18 juin 2019

~ Le concerto invisible ~

Il suffit parfois de si peu de chose pour s’aménager un coin qui repose.

Une touche de bleu, une touche de rouge, ‘quelqu’unes’ de rose. Lumières, loupiottes endimanchées, douce fraicheur de début d’été, silence de fin de journée.

1

Écoutez…
j’entends siffler.

Écoutez…
j’entends chuchoter.

Écoutez…
dans les feuillages,
au cœur des fleurs
sur ce buisson
et dans cet arbre.

Écoutez,
écoutez bien,
le spectacle du soir commence,
la chouette est là.

Concerto invisible et tourbillonnant de la nuit.

 1

© Texte    Nathalie K

18 juin 2019 ~ 21 : 55

1


10 janvier 2016

~ Je suis venue te dire ~

Lylie it's me avatar 2005_2014

Il y a un temps pour tout.
Roseau2012 écrit sa dernière page & referme le livre.
Il s’en va vers d’autres rives avec ses mots, ses photos,
sa musique, son tempo.

 

 


Que le vent vous porte et vous protège.

 

fleurs séparateur© Texte    Nathalie K

 10 janvier2016 – 10: 05

fleurs séparateur

Roseau 2016 

http://roseaufildutemps.canalblog.com

2

13 avril 2018

~ Aucun briseur de cœurs ne décryptera nos codes ~

Tu venais voir à intervalles réguliers si je ne t’oubliais pas.

Depuis le temps, tu savais que ce n’était et ça ne serait jamais le cas. Tu savais aussi que ton chien de garde, ton garde du corps, ton homme à tout faire, ta muraille de Chine, ton mur de Berlin m’agaçait au plus haut point. Le mot est faible pour décrire ce que je ne pouvais rayer de l’horizon de mes pensées vers toi.

La pluie tombait depuis plusieurs jours.

Elle venait se fracasser tantôt sur les vitres ou sur le bois des volets clos. Nous étions en avril, c’était le mois de mars qui continuait à jouer son concerto. Les fleurs, les oiseaux, menaient paisiblement leur vie, pas dérangés le moins du monde. Je les contemplais de loin, tel un paradis à la fois si proche et si loin. Réflexion faite, un peu comme toi.

Ma voix remontait peu à peu en surface plus régulière et apaisée.

Je sentais encore, parfois, la plume insidieuse, vicieuse, venir me chatouiller tout près du cœur. Chaque quinte de toux me laissait exsangue. C’était comme un orage, le grondement du tonnerre, l’éclatement des éclairs qui résonnait dans tout l’appartement.

Bien évidemment j’étais là.

Je t’écoutais, je te regardais, je t’admirais... toujours de loin, une vraie paria. Comment faire autrement. Dès que j’apparaissais, ton protecteur en armure montrait les dents. Sans doute imaginait-il que je ne connaissais ni son nom, ni même son existence qui liait sa vie étroitement à la tienne. J’ai vu ton regard triste, je connais tes sourires qui cachent les larmes au fond de toi. Comment ne pas sentir et ressentir, nous sommes si souvent mêmes.

Se faire une raison, c’est bien ce qu’ils disaient…

Ma raison était là, nos souvenirs aussi. Rien ni personne ne pourrait nous les arracher, les prendre, les supprimer.

Aucun briseur de cœurs ne décryptera nos codes.

Le fil des sentiments suit celui de l’amour. Le temps pourra passer, le temps comme le vent feront tourner la roue.

Un jour c’est sûr, je dirais encore « nous ».

1

© Texte  Nathalie K

13 avril 2018 ~ 22 : 14

© Photo Jemwong

1

 1

14 décembre 2013

~ Pré’occupée ~…

interrogativeJe ne sais s’il vous est déjà arrivé d’être pré’occupé concernant une personne que vous appréciez et qui, sans que vous en compreniez la cause, adopte un comportement à la fois proche & distant, moi oui.

Ok, proche & distant ça ne va pas ensemble.

Il y a déjà un moment que les liens entre nous se sont distendus, c’est vrai. Le revoir n’a fait que confirmer mon sentiment d’un changement profond dans sa vie. En aurait-il honte, serait-il gêné, a-t-il quelque chose de particulier à me reprocher ? Pourtant, cette complicité je la ressens toujours, même si plus discrète.

Comment puis-je affirmer ? Ça, c’est mon côté animal, pardon, amical, non animal, mon sixième sens.

Pourquoi déposer ce va-et-vient de points d’interrogation ? Sans doute pour les faire disparaître de mes pensées, ceux-ci me parasitent depuis trop longtemps, le revoir a réactivé mon moteur à questions.

Affaire à suivre ou pas, tout à l’heure…


Petit Roseau - Nathalie K
© Texte


10 janvier 2017

🌺 🍀 ✍️ La mélod’hiver en automne...

L’hiver s’installait prenant allègrement ses aises,
pendant que neige fondue tombait toute fine et fort aise.

Moi, j’avais encore le cœur sous un soleil doux d’automne,
et j’entendais au loin le tien qui chantonne.

En cette fin de jour,
fredonnons ensemble la mélo mélod’hiver en automne.

 1

© Texte & Photo  Nathalie K
10 janvier 2017 ~ 17: 00

 1

Copyright Photo HTC Desire Nathalie K 30 octobre 2016 IMAG0153

3 mai 2013

♪ Pourquoi Regardes-Tu La Lune ? ♪

anouk2-595x240Un peu d’espoir,

 un peu d’amour,

 

 que tu ne vois pas en plein jour...

 

 

Il y a des voix, des images, des mots, des notes qui savent me porter loin bien loin... éveiller l'émotion que j'aime j'aime... coeur qui bat

 

Pourquoi Regardes-Tu La Lune ?


 elle se reflète dans tes yeux,
elle y déverse sa lumière bleue


la lune est pleine
ce soir c'est beau

on pourrait peut'être prendre une photo...

Anouk Aïata

 

 

31 mai 2016

~ Je fais comme si. ~

Il fallait bien se résoudre au fait que tout était fini bien avant d’avoir commencé.

Tu n’envisageais en aucune manière de partir, moi non plus. Pourquoi nous lancer vers l’inconnu alors que nos vies semblent tracées aussi droites qu’une autoroute. Ce soir et à cette heure, seul un miracle, un génie à la lampe, je ne peux dire un « hasard » puisque je n’y crois pas, pourrait faire en sorte que tout change. Je m’interroge depuis un long moment à savoir ce qui t’a définitivement éloigné de ce semblant de « nous » qui me donnait l’impression que tout était possible.

Peut-on appeler cela de l’amour ?
Je ne le saurais jamais.

J’espère seulement ne pas m’être trompée. Que tous ces moments que j’ai cru partager ont bel et bien existé. Finalement, je me suis étalée, déballée, mise à nu parfois, dans la mesure du possible et bien au-delà de ce que je suis, seulement pour que tu comprennes. Je n’ai obtenu aucun retour évident, de simples suppositions, beaucoup d’imagination. La notoriété m’emmerde prodigieusement, elle met des barrières qui balaient d’un coup d’un seul les sentiments simples et véritables.

Peut-on appeler cela de l’amour ?
Je ne le saurais jamais.

Dans cette histoire, la seule idiote c’est moi. Comment peut-on être aussi réaliste, méfiante pour avoir trop été déçu, et se laisser rouler par une illusion, une simple intuition, une forte envie que ça marche, comme on ouvre une porte sur un monde qui permet d’y croire enfin. Si j’en ai parcouru du chemin, entre la vie, la mort, les uns, les autres, je pensais ne plus me faire piéger par un rêve. Tu sais, ce fil transparent qui un jour te mène vers ce que tu désires depuis si longtemps.

Peut-on appeler cela de l’amour ?
Je ne le saurais jamais.

Ils ont été nombreux à penser que c’était pour eux que je disais, ce n’était que pour toi.

Les souvenirs d’un cœur fragile et trop sensible te feront sourire si tu prends le temps de me lire. Depuis longtemps je sais que tu es dans une autre vie, un autre regard, une autre histoire, c’est ainsi.

La mienne n’est pas terrible, elle est triste à mourir.

Entre faux-semblant, faux sourire,
entre deux, je fais comme si,

c’est ça, je fais comme si…

 
1

© Texte  ~ Nathalie K

 31 mai 2016 ~ 01 : 14

1

1

31 juillet 2012

J'ai ouvert le livre...

couple-livre

J’ai ouvert le livre,
il manquait des pages,
je ne comprenais pas,
j’ai pris mon courage.

 

 

J’aurais voulu dire,
ou bien lui écrire,
ce qui ne se dit pas.

 

  Et page après page,
j’ai relu l’histoire,
commencé l’voyage.


Sans savoir pour qui,
sans savoir pourquoi,
il « griffe » et il reste.

Sans savoir pour qui,
sans savoir pourquoi,
il « griffe » 'continu...


L’artiste est modeste,
et vers l’inconnu,
il parle et avance,
rencontres imprévues.

Sans savoir pour qui,
sans savoir pourquoi,
il « griffe » et il reste.

Sans savoir pour qui,
sans savoir pourquoi,
il « griffe »'continu...

Apparaît parfois,
des maux, désespoir,
à moins que ce soit,
des mots, des espoirs…

Dans ce monde en crise,
il suit et poursuit,
la douceur de ceux,
qui le font rêver,
la douceur d’une vraie
d’une belle amitié.

Sans savoir pour qui,
sans savoir pourquoi,
il « griffe » et il reste.

Sans savoir pour qui,
sans savoir pourquoi,
il « griffe »' continu...

b5swlopw © Texte  Petit Roseau - Nathalie K

 Librement inspiré par « Une sottise » de Nilda Fernandez

 

© Photo sur site

5 janvier 2012

Année nouvelle, nouvelles pages...

L’année 2012 a ouvert ses portes, et depuis quelques années, chaque fois que j’ai besoin de changement, j’ouvre un nouveau support d’écriture.

PREMIER AVATAR PETIT ROSEAU 2012

Certes, l’esprit et le style du décor restent le même, tant par les mots que par les photos, nous avons tous notre griffe bien reconnaissable, les internautes le savent bien.

Je vous le disais il y a quelques jours, je poursuis donc les pages du livre de mes pensées en ces lieux, plus « ouvert  à tous », avec pour pseudo  « Petit roseau ». Il n’est pas très difficile de comprendre comment il est venu à moi…

Déjà, parce que Jean De la Fontaine est un de mes poètes préférés. Puis, parce qu’ « il plie, mais ne rompt pas »… Enfin, parce que c’est une manière comme une autre de faire un pied-de-nez à tous ceux qui m’empêche d’avancer, tant dans la vie que sur le net, estomper quelque peu mes tristesses. Mistikgriffe vous a conté ses malheurs  dernièrement...

Ici, je continuerai à partager avec vous le cours de « mon » temps…

Lylie it's me avatar 2005_2014

fleurs séparateurPetit Roseau Nathalie K.

  fleurs séparateur

Roseau2bis

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

18 janvier 2012

Un arbre pour mon blog...

bonial – prospectus et catalogues des magasins à proximité pour moins de co2 Vous aussi, prenez part au mouvement !

 

En participant à l'initiative Blog zéro Carbone vous pouvez aider à protéger l’environnement.

Pour participer, c’est très simple : voici comment faire, en trois étapes !

  • Un petit badge sur une page (le mieux étant dans la barre de navigation de gauche ou de droite, pour que le badge soit visible sur toutes les pages), et un petit article pour expliquer votre démarche, et voilà votre Blog zéro Carbone.
  • Envoyez nous ensuite un lien vers votre blog à blog-zerocarbone@bonial.fr et nous nous chargerons, avec notre partenaire, de planter votre arbre.

Celui-ci compensera tout au long de sa vie les émissions de CO2 dérivant de votre blog.
C’est simple !

Pour récapituler :

1. Un petit article sur la démarche + un badge
2. Un e-mail à blog-zerocarbone@bonial.fr
3. Nous nous chargeons de tout pour la plantation de votre arbre !

Attention : nous ne plantons qu’un arbre par domaine/site. Pour assurer le bon fonctionnement du badge, nous vous conseillons de ne pas modifier le code HTML associé!

 Rejoignez la communauté des blogs zéro carbone !

Un Clic sur le badge
=
un arbre planté,
carbone neutralisé.

16 décembre 2012

≈ …Une p'tite fleur oubliée...≈ …

Il y a des jours où j'aimerais être loin...

Rêver l'hiver en été
le printemps en hiver,
un autre univers...
est une de mes spécialités.

Vouloir un peu de rose dans mon ciel tristounet, just'une tendresse d'été, à l'image de cette p'tite fleur oubliée...

 

 Petit Roseau - Nathalie K
© Texte & Photo

 

(c) Nathalie K

 

 

 

 

 

 

 

 

 

20 août 2014

~ Lune d’un soir d’été ~

Entre nuages & lune, mon village semble dormir. J’aspire la fraicheur du soir, comme une gourmandise.

Tel un chant rassurant, prête pour une longue veille, la chouette renvoie son écho ...

La pluie sera là bientôt, ou bien est-ce trop tôt ?

fleurs séparateur© Texte & photo   Nathalie K.

   fleurs séparateur

© Nathalie K 9 août 2014 chateaulune chez moi

2 septembre 2012

Ne t’inquiète pas…

Tu m’avais dit,

j’suis là,
près de toi,
suis-moi…

(c) Nathalie K

Alors pourquoi ?

Ce silence,
intense,
pesant.

Alors pourquoi ?

Ce silence,
extrême,
suprême,
cruel ?


Alors pourquoi, « ne t’inquiète pas » ?

b5swlopwPetit Roseau - Nathalie K
© Texte & Photo

 

 

 

 

 

 

 

 

4 août 2013

“Le mal’amour”…

Tu vas oublier...     dit le Temps.

malamour

 

 

 

 

 

 

 

Chateaulune21juillet2013_DSCN0040

 

 ** N'oubliez pas de faire un clic sur la photo

  

17 février 2013

♪ Savoir partir quand même... ♪

Françoise Hardy

Partir quand même

pendant qu´il dort
pendant qu´il rêve
et qu'il est temps encore...

Partir quand même

au moment fort
briser les chaines
qui me lient à son sort

vont faire de moi un poids mort
un objet du décor...

 Post-scriptum

 

 Son site {...}

5 janvier 2014

Ω Les palmiers’ciel… Ω

Cette année,

les palmiers’ciel avaient la ferme intention de partir sur d’autres planètes...

(c)Nathalie K_1janvier2014_feudartifice_DSCN0582

© Nathalie K_1janvier2014_Feu_d'artifice_DSCN0583

quitte à s’en défriser la chevelure…

(c)Nathalie K_1janvier2014_feudartifice_DSCN0581

telle une envie irrépressible d'explorer d'autres contrées,

tant pis pour les conséquences,

sans remords ni regrets...

Petit Roseau - Nathalie K

© Texte & Photos

 

 

23 juin 2013

Et une étoile dans une fleur ?

Si tu aimes une fleur qui se trouve dans une étoile, c’est doux, la nuit, de regarder le ciel. Toutes les étoiles sont fleuries.

Le Petit Prince (Antoine de Saint-Exupéry)

(c) Nathalie K_9juin2013_fleursroses0012

 

17 mars 2014

~ La chanson sincère ~

luciolesIl ne faut pas placer certaines « lumières » sur un piédestal, elles sont « parfois » de simples lucioles de passage, brassent beaucoup d’air, sans fredonner la chanson sincère.


© Texte   Nathalie K.
Pensée du soir ~ 21 : 15

 

 

Publicité
Publicité
<< < 10 11 12 13 > >>
Publicité
Visiteurs
Depuis la création 38 936
Derniers commentaires
Archives
Publicité