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Petit Roseau au gré du vent, du temps, des mots, quelques photos.
29 février 2016

~ J’ai préféré fuir ~

Je n’étais pas là pour faire de la surenchère ou être, au final, un faire-valoir pour mieux me faire mousser. Ce soir-là, seule la surprise avait été de mise. J’avais écrit ces quelques mots comme j’aurais pu te les dire. Cette avalanche de réactions m’avait fait peur.

Je ne suis pas une courageuse, j’ai préféré fuir comme la sauvage qui gronde au plus profond de moi. Si loin de tout calcul, si près de l’émotion, je n’ai qu’un seul souhait, surtout ne te trompe pas.

1© Texte  Nathalie K.
29 février 2016 – 17 : 49
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23 février 2016

~ En un seul mot ~

Elles te voulaient toutes, moi je te voulais seul.
Aurions-nous le loisir de l’être
ou simplement de le faire par lettres…  

AM. ou  R. ?

Que nenni !
Quel drôle de langage.
Point de séparation,
en un seul mot « mon » être
en un seul mot “AMOUR”.

1© Texte  Nathalie K.
23 février 2016 – 18 :27
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20 février 2016

~ Orgueil & Jalousie ~

La jalousie est un révélateur de personnalité, l’orgueil en est un autre. À toujours vouloir se mettre en avant, à la fin on agace et on lasse. Moi, je tourne le regard & je passe.

Entre nous, pas de rivalité.

Admiration, observation, écoute, échanges simples en toute discrétion.  

Qui a dit que l’amour n’existe pas aussi… ainsi ?

1© Texte  Nathalie K.
20 février 2016 – 17 : 49

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19 février 2016

~ L'annonce ~

Un superbe téléfilm, une belle adaptation du livre de Marie-Hélène Lafon, une surprise au générique, la musique de Frédéric LO ...

À voir et à revoir.

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À lire & à relire.

L'annonce Marie-hélène Lafon

J’ai aimé cette phrase :

C’est à cause de la douceur que j’ai répondu à l’annonce

À écouter et réécouter.

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13 février 2016

໖ Je suis comme ce ciel ໖

Et tu imagines,
que le temps qui passe,
va tout effacer.

Regarde le ciel,
vois ce paysage
tout en contre-jour,
crois-tu qu’il est même ?

Un contour, peut-être,
un peu l’ombre, sans doute,
mais observe bien,
ce tout petit rien.

© Nathalie K_6 février 2016 DSCN0683

Le rose différent,
le bleu tout en mauve
est-ce un oiseau vole ?

© Nathalie K_6 février 2016 DSCN0684
Une griffe de travers,
un poisson peut-être,
ou juste une arête
un trait sous couvert,
un noir en frontière.

© Nathalie K_6 février 2016 DSCN0685

Change de point de vue,
le cœur apparaît,
il est toujours là,
Il ne s’enfuit pas,
Il ne bat que pour toi

© Nathalie K_6 février 2016 DSCN0686

Peu importe le travers,
que ce soit l’endroit
que ce soit l’envers

© Nathalie K_6 février 2016 DSCN0687

je suis comme ce ciel,
différente & même,
seule la couleur change,
le tempo parfois.

Mais vois-tu cher ange,
quand l’amour est là,
il ne s’en va pas,
il est juste pour toi.


Dis-moi tout, et toi ? ”


fleurs séparateur© Texte & Photos Nathalie

13 février 2016 – 21 : 50

fleurs séparateur

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5 février 2016

💌 Tu sais où me trouver.

Tourner une page après l’autre.

Ne plus se laisser dicter son chemin par les uns, par les autres. Avancer à mon rythme, comme les vagues suivent leur va et vient.

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Sans doute pensais-tu que je t’avais oublié.

Détrompe-toi.
Plus que jamais tu es là, près de moi. Entre-deux inspirations, entre-deux expirations, douce et calme respiration qui me mène toujours jusqu’à toi et en toi. Vertu de la pensée qui laisse croire qu’elle est ici, alors qu’elle joue à l’école buissonnière et s’en va par les chemins rejoindre celui qu’elle aime.

Non, l’amour ne m’a pas quitté.

Ce pauvre diable a eu besoin de se retrouver, perdu dans sa vie non tracée, non posée, ponctuée de brisures aux pointes acérées.

Le manque.
Aussi fort que le tien.

Je recommence tout juste à émerger de cette réalité trop lourde à porter. Pesante, effrayante, parfois, pas à l’abri de m’abattre au moment qui l’arrange, sans se préoccuper à savoir si elle dérange.

Tu ne me dis jamais ce que tu penses vraiment.
Oui j’entends ton message. Il parle si doucement, à peine un murmurement. Quelques mots si fragiles, un ou deux petits signes, hiéroglyphes égyptiens qui me font dire «tiens, tiens»…

Le temps hélas n’arrange pas tout.
Il estompe nos blessures, quelques égratignures, qui ne se gênent pas pour mieux réapparaître. Puis, ce coquin galopin lisse & patine le plus doux, le plus beau, et le fait totalement disparaître.

Tu sais où me trouver, je ne suis pas bien loin, il suffit de penser et alors j’apparais.

fleurs séparateur© Texte   Nathalie

5 février 2016 – 22 : 33

fleurs séparateur

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