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Petit Roseau au gré du vent, du temps, des mots, quelques photos.

15 avril 2018

~ Elle me l’avait bien dit ma chouette ~

Hier soir, à quelques arbres de mes fenêtres, la chouette me l’avait bien dit qu’elle prenait ses quartiers d’été ! J’étais dubitative quant à son chant rassurant, il annonce en général la chaleur qui s’installe.

Et pourtant…

L’appel des jardins en fleurs, le parfum des lilas qui commence à paraître, les tulipes rouge et or, jonquilles et pâquerettes, impossible de ne pas chausser ses baskets, pour partir le nez au vent du jour.

C’est ce que j’ai fait.

Sous un soleil qui avait fui mon ciel depuis quelques jours, et qui, comme pour s’excuser de son absence, m’a offert en cadeau la douceur bleue du ciel que j’aime, j’ai rejoint à petits pas le chemin de mes collines.

Le pourtour de « mon » château est cette année plus bruyant qu’à l’habitude. En effet, son parc se prépare à accueillir marcheurs à l’affut de bio découvertes, concerto pour piano et cigales…

J'ai laissé sur le chemin du retour quelques derniers regards sur le cours de ma rivière qui chantonnait heureuse d’avoir tout autour d’elle une myriade d’iris, de grands beaux boutons d’or.

Enfin, me voilà arrivée à la maison en disant :

« il fait trop chaud, je n’en peux plus, à boire par pitié » tout ça tout en soufflant.

“Elle me l’avait bien dit ma chouette qu’il ferait beau dimanche”

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© Texte Nathalie K

 15 avril 2018 ~ 19 : 57

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13 avril 2018

~ Aucun briseur de cœurs ne décryptera nos codes ~

Tu venais voir à intervalles réguliers si je ne t’oubliais pas.

Depuis le temps, tu savais que ce n’était et ça ne serait jamais le cas. Tu savais aussi que ton chien de garde, ton garde du corps, ton homme à tout faire, ta muraille de Chine, ton mur de Berlin m’agaçait au plus haut point. Le mot est faible pour décrire ce que je ne pouvais rayer de l’horizon de mes pensées vers toi.

La pluie tombait depuis plusieurs jours.

Elle venait se fracasser tantôt sur les vitres ou sur le bois des volets clos. Nous étions en avril, c’était le mois de mars qui continuait à jouer son concerto. Les fleurs, les oiseaux, menaient paisiblement leur vie, pas dérangés le moins du monde. Je les contemplais de loin, tel un paradis à la fois si proche et si loin. Réflexion faite, un peu comme toi.

Ma voix remontait peu à peu en surface plus régulière et apaisée.

Je sentais encore, parfois, la plume insidieuse, vicieuse, venir me chatouiller tout près du cœur. Chaque quinte de toux me laissait exsangue. C’était comme un orage, le grondement du tonnerre, l’éclatement des éclairs qui résonnait dans tout l’appartement.

Bien évidemment j’étais là.

Je t’écoutais, je te regardais, je t’admirais... toujours de loin, une vraie paria. Comment faire autrement. Dès que j’apparaissais, ton protecteur en armure montrait les dents. Sans doute imaginait-il que je ne connaissais ni son nom, ni même son existence qui liait sa vie étroitement à la tienne. J’ai vu ton regard triste, je connais tes sourires qui cachent les larmes au fond de toi. Comment ne pas sentir et ressentir, nous sommes si souvent mêmes.

Se faire une raison, c’est bien ce qu’ils disaient…

Ma raison était là, nos souvenirs aussi. Rien ni personne ne pourrait nous les arracher, les prendre, les supprimer.

Aucun briseur de cœurs ne décryptera nos codes.

Le fil des sentiments suit celui de l’amour. Le temps pourra passer, le temps comme le vent feront tourner la roue.

Un jour c’est sûr, je dirais encore « nous ».

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© Texte  Nathalie K

13 avril 2018 ~ 22 : 14

© Photo Jemwong

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9 avril 2018

~ Tout change, à dire vrai, moi aussi ~

Reprendre le contrôle n’est pas toujours drôle.

Obligée depuis quelques jours d’entrer dans le silence par la faute d’une corde vocale éraflée, par je ne sais quel courant d’air mauvais. Du coup, je suis restée un peu plus longtemps dans la vie et sa fatale réalité.

Finalement, pas très compliqué de ne plus communiquer à l’oral comme à l’écrit. Plutôt simplissime de se désintoxiquer de ces clics, de ces clacs virtuels, numériques, webistiques. Plus retords à gérer les signes et les demi-tons de perroquet étranglé.

Et puis, la question.

Revenir oui ?
Revenir non ?
Revenir oui et non.

La voix,
est revenue en zigzag, indisciplinée. Trop aiguë ou trop grave, en bas volume ou à plein décibels. En véritable rebelle, complètement déchirée, entrecoupée parfois par des aboiements de toux.

L’écriture,
un peu, sans vraiment être là, en surface deci-delà, la juste dose que je veux moi. Sans automatisme de direction, d’obligation, de compassion, juste « en réaction ».

Où je veux, quand je veux, avec qui je veux.

Égoïste ?
Autocentrée ?
Narcisse ?
Timbrée ?
Givrée ?
Flinguée ?
Fêlée ?

Bien oui,
mes silences ne se passent jamais en silence, mais dans l’agitation, toujours plein d’ondulations. Même dans mon sommeil une « peur auditive », un appel de passage, un réveil « tout en  palpitations », insomnie qui s’installe, le cœur qui s’emballe.

Le monde ne va pas bien, autant vous dire que ces derniers jours, moi non plus.

La planète s’inverse et tout change, à dire vrai, moi aussi.

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En attendant de retrouver un certain équilibre, j’écris ici ces quelques mots pour vous, pour d’autres, pour moi, je ne sais plus vraiment.

Voilà que la « toux moqueuse » se fout sans aucune gêne de moi. Une fois encore, elle me laisse sans voix.

Tant pis, pensais-je, et qui vivra verra…

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© Texte  Nathalie K

09 avril 2018 ~ 21 : 38

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1 avril 2018

🌺 🍀 💞 ✍️ Lune du soir ~

Que veux-tu ?
Qui es-tu ?
Toi, Lune du soir…

Tu étais là,
j’ai pensé :
 « Pourquoi pas, pour une fois, dire bonsoir. Juste comme ça, juste pour voir »

(c)Photo Nikon Nathalie K_30 mars 2018_19h53_
Il ne fait pas encore trop nuit noire
Lune du soir, mais j’attrape ton bonsoir,
et je t’envoie « au-revoir, juste comme ça, juste pour voir »

C’est ainsi que commence l’histoire…

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© Texte & Photo  Nathalie K

 30 mars 2018 ~ 20 : 50

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21 mars 2018

🌺 🍀 💞 ✍️ Le crayon de printemps ~~~

Tout à l’heure, l’ami m’a dit qu’il fallait être « la gomme qui efface Dame La Tristesse ».

Sur mon tableau noir, se pose aujourd’hui un peu de blanc de gris et surtout du rouge. Rouge de mes colères, rouge de mes galères, rouge de mes cris, tous contestataires.

C’est bien beau tout ça… je n’ai pas le pouvoir de tout effacer.  

Juste de quoi déposer un petit bout de rose, pour un peu de douceur, un coin de vert espoir, pour des jours meilleurs, un revers de ciel bleu, pour que tu me voies un peu, quelques scintillements, de jaune soleil, de petites étoiles, qui font battre les cœurs.

(c) Nathalie K 20 mars 2018
Mais comment tomber, tout complètement, tout parfaitement, mon rideau de soie noire ? Comment faire paraître tout un paysage, une bulle d’oxygène, un bout de printemps ?


Oui, j’ai pris la gomme,
mais c’est le crayon qui a dessiné le point de solution.

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© Texte  Nathalie K

20 mars 2018 ~ 22 : 37

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28 février 2018

✍ ~ Si près de l’œil du cyclone ~ ...

Il suffit que je ferme les yeux pour me sentir loin de tout.

Le vent souffle fort depuis des heures tel un blizzard épais au fin fond de la Sibérie. Depuis le petit matin, jusqu’au premier point de la nuit, une vague de grésil glacial s’enroule autour des maisons et des gens, à l’image d’un serpent encerclant sa proie. Alors que la neige enlace les paysages alentour, ici, ce n’est que myriades de paillettes en rafales. Elles ne font que passer, sans penser à se poser ou même s’installer.

Les volets du voisin claquent à intervalles réguliers et tapent sur la rambarde, le bruit n’a pas l’air de le déranger, je vais finir par le trouver moi aussi rassurant. Le souffle puissant de l’air s’infiltre par tous les interstices en faisant « le loup ». 

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Impression étrange d’être dans un bateau à la dérive, perdue au milieu de tout, perdue au centre de rien.

Étrange sensation de se sentir à l’abri, tout en étant si près de l’œil du cyclone.

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© Texte  Nathalie K

28 février 2018 ~ 23 : 16  

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4 janvier 2018

✍️ Condamnés à nous aimer ~ 🔹🔹🔹

Il fallait bien se rendre à l’évidence, nous étions condamnés à nous aimer.

J’ai essayé de t’oublier, je me suis obligée à sans cesse me répéter que tu n’étais qu’une illusion perdue, un joli rêve pour avancer, un point marquant à disparaître.

Non et non, rien à faire.

Ce trait d’union gravé au plus profond de moi, ne me lâche pas, ne me quitte pas.

Le commun des mortels aurait éclaté de rire si je lui avais raconté le fil de notre histoire. Si je ne le vivais aussi intensément, sans doute que j’aurais ri aussi de bon cœur.

Aujourd’hui, le ciel couvert de gris laisse entendre le chant du vent et de la pluie. Mes pensées tourbillonnent d’un bout à l’autre du jour ou de la nuit, ne me laissant pas un instant de répit.

Dis-moi amour, quand donc pourrais-je enfin tourner la page ? Á moins que non, écrire une nouvelle page.


Sans eux, juste « Toi et Moi »...

 

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© Texte  Nathalie K
03 janvier 2018 ~ 16 : 34  

 

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1 avril 2017

✍️ Celle qui est au centre, la plus importante ~ 🔹🔹🔹

Rien ne remplacera le cœur à corps et pourtant.

Il fallait que tu saches, plus que jamais j’étais là pour et avec toi. Sans doute aurais-je disparu si je ne te savais là. Présence invisible, regard silencieux, qui disait si peu, mais pensait beaucoup.

La douleur du manque, le besoin de toi, je le ressens aussi fort que tu peux l’avoir.

Je ne sais plus quoi dire.

Il vient un moment où ce foutu temps nous dévore de l’intérieur. Tu attends toujours, un espoir au ventre, une chanson en tête qui ne te quitte pas, qui ne te lâche pas, qui revient en boucle sur le même thème qui rime en «taime».

Terrible la distance. Elle sépare les uns et éloigne les autres.

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Nous tournons en rond dans notre petite vie, la routine nous bouffe. Peu importe le tempo, quand tu claques la porte, elle nous tombe dessus la perfide question, celle qui est au centre, la plus importante.

M’aimes-tu un peu ?
M’aimes-tu beaucoup
ou bien pas du tout ?

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© Texte  Nathalie K
01 avril 2017 ~ 15: 56  

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20 février 2017

✍️ ~ Oui, et même plus encore... ~ 🔹🔹🔹

Cette colonie d’idiots est assez bête pour croire que j’écris pour accrocher quelques amours perdus. Pour avoir ce que je veux, jamais je n’ai eu besoin de subterfuges quelconques.

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Il y a bien des années que j’ai besoin de te sentir tout près.

Alors, tel un musicien sur le sien, j’ai pianoté sur mon clavier. S’il m’arrive en filigrane de survoler mon quotidien, c’est pour laisser s’envoler mes brumeuses pensées, tu sais, celles qui font mal et m’empêchent d’avancer.

J’ai pu voir défiler toutes tes destinations, qui vont de Dublin, Panam, en passant par le Japon.

- Me garderas-tu quelques cartes postales ?

Juste une griffe suffira et elle me dira : « c’est moi, je suis là, je vais bien je pense à toi ».

Oh, je sais que ton « autre » t’encercle plus que de mesure. Elle ne saisit encore pas, que ses barbelés posés tels des pièges à rongeurs, ne sont que fétus de paille que l’on contourne toujours.

Je peux comprendre cela, j’aurais fait tout pareil, peut-être même pire.

Le lien qui nous unit possède de solides fondations. Nous les avons construites depuis longtemps déjà. Il faudrait un déluge pour détruire l’ensemble. Pour sceller un amour, le rendre indestructible, nul besoin d’une maison, d’un anneau, d’un enfant.

La force, le tissage emmêlé de nos pensées,
sont gravés dans le ciel,
les sillons de la terre,
le creux de la pierre,
tout au fond de nos cœurs,
pour une éternité et même plus encore.

Oui, et même plus encore…

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© Texte  Nathalie K
20 février 2017 ~ 17 :20

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15 février 2017

✍️ ~ Mon amour pour toi ~ 🔹🔹🔹

Si un jour tu penses
que tout est fini,
qu’au fond d’un placard
et bien que je t’oublie,
dis-toi bien toujours,
que jamais au grand jamais
je ne te classerai.

Il semble silencieux
ou bien tout éteint,
tu ne le vois pas,
mais il est bien là,
tout proche de toi,
oh oui bien plus fort
que tu ne le crois.


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J’ai vu ton regard,
triste à l’intérieur.
Je le connais bien,
j’ai souvent le même.

Pense à moi un peu,
juste pour nous deux,
pense à moi beaucoup,
pour tenir le coup.

Si tu les vois rire
ou bien se moquer,
passe ton chemin.

Si tu te souviens,
de tout ce qu’on s’est dit,
alors tu sauras
que par ce message
mon amour n’est pas
seulement de passage.

La vie se balance,
sur un fil nous sommes,
pour ne pas tomber,
il faut juste s’aimer…

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© Texte et photo  Nathalie K
15 février 2017 ~ 21 : 37

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5 février 2017

✍️ Quelquefois 🔹🔹🔹

Le même « toi », tout ici ou bien là,
même sans moi, tu sais, ne m’effraie pas.

Quelquefois,

Je lis, j’observe, je vois,
tes non-dits et tes cris.

Quelquefois,


Cet appel, en rappel,
m’interpelle sur ton manque.


Quelquefois,

Un écho, contre écho,
glisse et pose une voix
sur ma voie.

Que fais-tu ?
Où es-tu ?
M’entends-tu ?

Quelquefois,

Je réponds,
Mais toi tu n’entends pas.

Quelquefois,

Je te montre,
Mais toi tu ne me vois pas.


Quelquefois,

Je me tais,
Et là tu ne comprends pas.

Quelquefois,

Cher amour,
tu oublies le « toujours ».

Quelquefois,

Le même « toi », tout ici ou bien là
Disparaît, abandonne, tourne le dos et s’en va.

Il ne me reste alors que le doux chant de moi
Qui répète en bis répétita
Quelquefois, quelquefois, quelquefois...


1© Texte Nathalie K

~ 5 février 2017 ~ 00 : 52
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13 janvier 2017

🌺 🍀 💞 ✍️ Ici, le cœur parlait...

Entre ciel & nuit j’étais.

Ici, le cœur parlait,
écrivait, pensait.
Là, c’est sûr, il vivait.
Regard ou pas j’étais,
 Oui, toujours je serais...

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© Texte et photo  Nathalie K
12 janvier 2017 

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(c) Photo Nikon Nathalie K_12 janvier 2017_DSCN1030

11 janvier 2017

🌸 🍀 ✍️ Moi, je t’aimais...

En ces temps troublés, je sentais bien que chacun se recroquevillait.

Faire semblant, trouver des expédients, partir, parler, écrire, penser en aparté. Certains laissent même croire à un silence de sainteté, puis, en souris, se glissent par tous les trous de serrure.

Quand la balance n’est plus en équilibre, tout tombe et disparaît.

Je ne sais à cette heure où tu pouvais bien être, mais il y a longtemps que je ne t’entends plus.

Sans doute penses-tu que brille près de moi un soleil ou un autre, qu’à ses pieds je me prosterne telle une belle idiote. C’est bien mal me connaître. Toi seul a la clé de la porte du cœur. Ne la prête à personne, garde là juste pour toi. J’aurais tant voulu qu’elle soit qu’entre tes mains, juste pour ton regard, pour les soirs de cafard.

J’ai dû me tromper. Ton amour n’était qu’un feu de paille qui t’a souvent fait rire, mais pas vraiment m’aimer.

“Ainsi va la vie, qui n’en finit pas, comme la roue de tourner.
Moi, je t’aimais…”

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© Texte  Nathalie K
18 décembre 2016 ~ 19 : 10

© D’après une peinture de Delphin ENJOLRAS

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(c) Delphin Enjolras

10 janvier 2017

🌺 🍀 ✍️ La mélod’hiver en automne...

L’hiver s’installait prenant allègrement ses aises,
pendant que neige fondue tombait toute fine et fort aise.

Moi, j’avais encore le cœur sous un soleil doux d’automne,
et j’entendais au loin le tien qui chantonne.

En cette fin de jour,
fredonnons ensemble la mélo mélod’hiver en automne.

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© Texte & Photo  Nathalie K
10 janvier 2017 ~ 17: 00

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Copyright Photo HTC Desire Nathalie K 30 octobre 2016 IMAG0153

6 janvier 2017

🌺 🍀 📸 ✍️ Quelques vagues grises...

Tel un ciel de jour qui dépose ce matin quelques vagues grises entre le soleil & lui.


Étrange regard silencieux sur le village assoupi.

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© Texte & Photo  Nathalie K
6 janvier 2017
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 (c) Photo Nikon Nathalie K_6janvier 2017_DSCN1029

3 janvier 2017

🌺 🍀 🐞 ✍️ Le porte bonheur…

N’oublie jamais, il y a toujours un porte-bonheur qui va et vient tout près de toi. Quand tu penses que tout s’écroule, il vient à toi sous différentes formes.

Cette jolie « cacarinette » en est un.

Quand il le faut, elle vole plus haut, plus vite et plus loin que ne peuvent le faire tes pensées.

Prend bien soin de ne pas passer à côté en l’ignorant, un jour, elle sera ta protection.

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© Texte  Nathalie K

3 janvier 2017 ~ 11 : 48

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(c) La boite à images

1 janvier 2017

🌸 🍀 ✍️ 1er janvier 2017 ...

Où serons-nous ?
Que ferons-nous ?
Qui serons-nous ?
Je n’en sais rien et c’est très bien comme ça.

À trop vouloir penser, l’esprit se perd et tombe, pas forcément du bon côté.

L’année 2017 se pose, laissons-la s’installer, nous raconter l’histoire.

Souhaitons la libre et heureuse.

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© Texte  Nathalie K
1er janvier 2017~ 20 : 36

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le temps passe

 

28 décembre 2016

🌺 🍀 📸 ✍️ Conversation « Perroquienne »...

Arrête !

Pardon ?

Je ne suis pas assez ridicule derrière mes « carreaux », exposé comme une bête de foire… pas besoin de me prendre en photo, je n’ai pas fait le « brush » !

© Photo Nathalie K_27decembre2016IMAG0287

Tu plaisantes, tu es fier comme un paon, admiré, choyé comme un coq en pâte.

Ne me compare pas à un coq sinon je t’affuble de dinde, oups, d’oiselle… damoiselle !

© Photo Nathalie K_27decembre2016 IMAG0290 copie

Très bien, très bien cher perroquet, puisque tu n’es pas à toucher avec des pincettes et d’une humeur de chien, je m’en vais à pas de chat.

C’est ça « Chat’dame » !

Perroquet perroquet… je t’en donnerai des perroquets, mon nom est Jaco de la tribu des « Gris du Gabon, non mais.

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© Texte & Photos  Nathalie K
28 décembre 2016

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24 décembre 2016

🌺 🍀 ❄️ ✍️ Le signe dans la brume...

De loin, je l’ai vue pavoiser, la belle branche de Noël. Tout de rouge vêtue, elle semblait flotter et dire :

Presse-toi donc, viens vite,
je suis le signe dans la brume,
la couleur dans le blanc du ciel,
la protection de l’au-delà…

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© Texte & Photo  Nathalie K
24 décembre 2016
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© Photo Nathalie K_11decembre2016 DSCN0993

 

20 décembre 2016

🌺 🍀 📸 ✍️ Le soleil & la lune...

Le soleil voulait absolument ressembler à la lune.

Il avait oublié un détail d’importance, le jour ne peut ressembler à la nuit.

Même la brume épaisse a laissé se poser le sombre que sur les arbres effeuillés.

Qui sait, un jour peut-être ils se rencontreront…

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© Texte & Photos  Nathalie K
20 décembre 2016 ~ Série “ brumes et ombres chinoises ”

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© Photo Nathalie K_11decembre2016 DSCN0981

© Photo Nathalie K_11decembre2016 DSCN0980

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