≈ Et alors ? ≈
Oui, je suis là.
Je n'ai rien à dire, ou trop.
Je ne fais donc que passer,
survoler,
observer,
&
je m'en vais.
A bientôt...
Petit Roseau - Nathalie K
“ Fin ” ou “ Intro ” …
Pour moâ,
“ Aujourd’hui ”
est une page
de
“ Fin ”.
Pour d’autres,
c’est une “ Intro ”…
C'est en prenant des sphères parallèles, que j’ai découvert cette musique qui m’hypnotise, m’appelle, m’interpelle, m’ensorcelle, j’aime tellement… j’ai poursuivi ma route et j’ai découvert un groupe “ XX ”.
Pour vous, pour moâ, pour qui ça intéressera, écoutez …
≈ “ Tout le monde, Personne, Seul & Mystère ”… ≈
Tout le monde,
dans son microcosme
vit sa vie.
Tout le monde,
S’amuse,
S’admire,
Se flatte,
S’éclate.
Tout le monde,
observe,
critique,
ignore.
Mais,
Personne,
Ecoute,
Regarde,
Entend,
Comprend,
Finalement,
Seul,
Est,
Reste,
Pense,
Tourne,
Tombe,
Se relève,
Tombe.
Tombe,
Se relève.
Tombe...
Mais,
qui donc changera tout ça ?
Mystère…
Petit Roseau - Nathalie K
© Texte
Je veux juste “ Te Manquer ”...
Comme un Funambule,
raconte Fabien...
moâ j' aime... aime... aime...
C'est un drôle de sentiment, je suis pas sûr que ce soit bien
Mais je veux être un peu plus qu'un souvenir dans ton futur quotidien...
En fait, j'aimerais te pincer le coeur à chaque fois que tu me revois à tes côtés,
Je veux juste te manquer...
Grand Corps Malade et Sandra Nkaké
≈ Série Rose & Noire ≈
Atchoum !
La pluie tant attendue tombe, j’en suis sûre. Entre-deux rafales de vent, j’entends au loin des éclats de rire, une musique, quelques voix enfantines se perdent dans la nuit. À intervalles réguliers, des éclairs transpercent le ciel, le tonnerre gronde de sa voix rauque.
J’avance sans trop savoir vers où, vers qui, vers quoi. J’étais pourtant certaine de te retrouver là assis à la même place. Octobre, c’est bien le mois de tous les espoirs, toutes les folies ? Tu m’avais dit que le lien serait toujours à la même date, ici. J’ai beau tourner dans tous les sens, seul le silence crie.
Toi, tu es parti sans le moindre regret. De toute façon tu t’en foutais. Il y avait déjà longtemps que “ nous ” n’existait plus.
Sans vraiment me rendre compte où mes pas me portaient, je suis à la même table.
Tu te souviens…
Ce soir-là, tu étais tellement dans tes pensées, tu n’avais pas daigné me regarder. J’avais pourtant tout fait pour que tu lèves la tête, dirige vers moi ton regard, une fois, oui, oh oui, seulement une fois ! J’avais bien compris à ta façon de triturer ton mobile, ta mine de bête traquée, tes gestes désordonnés, que tu étais plus que préoccupé. C’est seulement lorsque tu as fini par te lever, un peu trop brusquement sans doute, que ma tasse a voltigé.
Tu pleurais amour, oui, tu pleurais. Cela va te paraître bizarre, mais je n’avais jamais vu un homme pleurer ; je n’avais pas besoin de dessin pour savoir que j’étais à cet instant précis, totalement foutue. Raide, dingue, folle, peu importe, de toi et seulement toi.
Je t’entends d’ici.
_ Alors petite, il faut pleurer pour te plaire ?
J’ai froid.
Je n’ai pas voulu quitter la place près de la fenêtre entrebâillée. Le vent la pluie dansent encore dehors leur valse endiablée. Je suis bien que pour me souvenir, tant pis pour les frissons à répétition.
_ Vous désirez ?
_ A cette heure… un chocolat. Et puis… ajoutez un fondant. Bien quoi, varions les plaisirs et les desserts !
J’avais failli crever de ne plus m’alimenter, ce soir et à l’inverse je crèverai de “ trop ”. Après tout, il faut bien mourir un jour.
Le serveur me regardait avec un air mi-figue mi-raisin, ne sachant pas trop si ma tête à l’envers l’était par la pluie, ou si j’étais une déglinguée de plus. Un peu des deux certainement, mais je m’en fous ! Je n’aurais pas besoin de me forcer à être douce et bien élevée. J’étais bien loin à minuit une de l’ange, bien plus près du démon.
Mon cœur va s’arrêter.
Tu es là. Oui oui, juste devant moi, à quelques mètres. Tu n’es pas seul Paul. Tu as le culot de venir ici avec une autre !
Mon cœur, je le sens, est en train de rendre l’âme Paul.
Tu lui souris, tu l’embrasses.
Je meurs Paul.
Où sont tes promesses ? Qu’as-tu fait de ton amour pour moi ?
Oublié ?
Rayé ?
Déchiré ?
Envolé ?
J’ai un vertige Paul. Je te vois, je me vois, je la vois, tout tourne et se mélange, je tombe. Il me semble entendre un claquement, une détonation.
Quelle est cette douleur intense ?
Dis, est-ce que c’est ça mourir ?
Mourir d’amour ?
Mourir tout court ?
Ma main Paul… elle est rouge de sang, rose de cœur.
Je ne suis pas Juliette, tu n’es plus mon Roméo.
Pourquoi ?
J’ai peur.
Il fait noir.
Où suis-je ?
Petit Roseau - Nathalie K
© Texte & Photo
≈“ Daulphi’nuages ” ont-ils des ailes…≈
Mais qui a dit que les dauphins n’avaient pas d’ailes ?
Regardez, observez, ils sont beaux mes “ Daulphi’nuages ”…
Ils courent & courent,
encore et toujours
Toujours et encore
Après qui, après quoi,
je ne sais pas,
ils ne disent pas ;
je ne sais pourquoi,
quoi qu’il en soit,
ils étaient là,
tout près de moâ...
Petit Roseau - Nathalie K
© Texte & Photo
Post-Scriptum - 27 septembre 2013
♪ Dis-moi encore que TU m’aimes… ♪
Le soleil les fleurs les persiennes
Les pluies vont être diluviennes
Sens-tu le parfum que le vent ramène
Dis-moi encore que tu m´aimes...
Et si l´on rejouait toutes les scènes
Dis-moi encore que tu m´aimes...
Et si l´on modifiait les thèmes
Dis-moi encore que tu m´aimes...
Gaetan Roussel
Post-scriptum : Help Myself...
Energie “ Eolienne ”
≈ Il suffira d'un “ Cygne ”...≈
Il faisait un temps étrange hier après-midi.
Pourtant, je suis partie entre soleil et nuages, rejoindre l’appel de la nature si proche de l’automne.
Il suffira d’un “cygne” prend ici toute son importance…
Au fil du temps, j'ai remarqué que le cygne n'est pas un solitaire. Chaque année, je le rencontre accompagné de sa dulcinée, toujours entouré, la preuve en est.
Mon ami Pierre me manque (…) il aurait su me donner le “petit nom” de ce compagnon “huppé” de conversation...
Soleil, calme, douceur, tout en apesanteur…
Le noir et le blanc ne s’épousent-ils pas ?
Ils étaient en tout cas, en grande conversation…
Oups !
Un vent de désaccord,
un appel au loin,
tous aux abris …
Retour à la case départ…
où en étions-nous ?
Ah oui…
calme & sérénité du temps qui court …
Autre lieu, autre étang, autres “cygnes”,
revoilà mes “coussins pêcheurs”…
trop loin et occupés à la tâche,
ils continuèrent leur train,
et moi,
mon chemin…
Petit Roseau - Nathalie K
© Texte & Photos
A suivre...
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“ Fascination... ”
Je ne sais pas vous, mais je trouve toujours fascinant de voir naître un tableau sous nos yeux, comme ça, l’air de rien, une respiration.
Si vous avez 7’ pour regarder cet instant magique, je vous propose de découvrir le fabuleux talent du peintre “ VLADIMIR VOLEGOV ”
dans “ Sunny Day In The Country”...
♪ Lilith, celle qui savait … ♪
Elle est bien chargée ton histoire ma belle,
et bien moâ, je m’en bats l’œil !
Je n’oublie pas que sous d’autres cieux, il y a quelques années maintenant, petit roseau se nommait lylie. De temps à autre, “ Mon ciel ” se charge de battre le rappel pour que je revienne ; je pars donc voleter par là-bas et revient ici-bas, à pas de chat...
C’est avec plaisir que je t’emmène dans mon étang, à l’abri de mon chêne, sous mon soleil “ rougerosetOr ” & sous mon vent...
Lady-Lilith de Dante Gabriel Rossetti
John Collier
C'est la maladie d'amour...
“ Ma rentrée littéraire à moi ”…
Elle est en décalé, a déjà reçu un prix, celui des lecteurs en 2012.
Lorsque j’ai fait la connaissance de Simon “ l’écrivain à succès ”, de Naëlle “ la belle mystérieuse ”, je n’avais aucun doute sur le déroulement d’une belle histoire à l’eau de rose entre ces deux-là. Ce n’était pas pour déplaire à la fleur bleue que je suis et resterai toujours.
Seulement voilà…
À intervalles réguliers, je suis tombée sur ce genre de missive :
“ Parfois, elle me parle maman.
Parfois elle lit des mots dans un livre, des chansons et, alors, elle dit que le temps est moins long.
Le temps… Maman a déjà essayé de nous expliquer ce que c’est, à la sœur et à moi ; mais c’est difficile à comprendre : le jour, la nuit, on ne sait pas ce que c’est.
Il y a juste cette ampoule, parfois allumée, parfois éteinte ; alors, elle, elle nous dit que c’est comme ça le jour et la nuit : allumé, éteint, allumé éteint.
Moi, je m’en fous, je suis content quand elle chante ses chansons ! ”
Alors là, impossible de me décrocher du livre, aimanté que j’étais à découvrir la suite. Qui parlait, qui c’était, mais qu’est-ce qu’il allait arriver…
Je vais passer pour une vieille radoteuse, je suis une inconditionnelle de l’écrivain Franck Thilliez depuis la lecture de “ La mémoire fantôme ”, je l’ai mis depuis plusieurs années en lettres d’or sur ma liste.
Et bien c’est “ un peu ” lui que j’ai retrouvé dans ce livre.
Croyez-moi, c’est un compliment gigantesque que je fais envers l’auteur de “ Comme des larmes sous la pluie ”, Véronique Biefnot.
Certes, j’ai aussi retrouvé différents thèmes que j’affectionne particulièrement, car ils m’intriguent et éveillent systématiquement ma curiosité, notamment la mémoire, et… je n’en dis pas plus. Également des références qui m’ont fait sourire, des noms (Lilith, Eurydice) et même, je vous le donne en mille, un Roseau … à l’avant-dernière page.
Je me suis retrouvée jusque dans la présentation !
Il n’en fallait pas plus pour rejoindre mon cher Paul ELUARD et cette belle citation “ Il n'y a pas de hasard, il n'y a que des rendez-vous ” ...
Je dis souvent que ce sont les livres qui nous choisissent et non l’inverse, pour celui-ci c’est sûr, il était fait pour moi !
Petit Roseau - Nathalie K
≈ Qui est “ l’auteur du crime ” ? ≈
Il arrive parfois que l’actualité se passe juste au-dessus de votre tête, à deux pas de regard de vos fenêtres.
C’est ce qu’il est arrivé le 23 août dernier.
La fête votive qui commençait aurait pu être la cause de ce vrombissement qui arrivait à intervalles réguliers. Seulement voilà, les cris trop proches des enfants du quartier, et les conversations “ de grands ”, ont fini par me contraindre à quitter mon livre. D’autant que je commençais à sentir une odeur reconnaissable entre mille, celle du “ pin brulé ”…
C’est en apercevant ce triste spectacle, que j’ai eu la confirmation de mes suppositions.
Le ballet incessant de l’hélicoptère des Sapeurs-pompiers d’Aix-en-Provence était à l’origine de ce boucan d’enfer.
Je n’ai pu voir au-delà des collines, mais toute la Brigade de Sapeurs-pompiers de mon village ainsi que le peloton de Gendarmerie étaient à pied d’œuvre ; évacuation de la population si proche du danger.
Qui est “ l’auteur du crime ” ?
Une cigarette balancée négligemment dans la nature alors qu’elle n’était pas éteinte…
Petit Roseau - Nathalie K
© Texte & Photos
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♪ Où sont tes années folles... ♪
≈ Seriez-vous donc les mêmes ? ≈
J'aime l'intelligence et la finesse d'esprit, car j'y retrouve l'humour et la psychologie.
Le don d'observation et la critique fine, l'homme et la femme pensent, sans dire ou médire, ils pensent.
Certains laisseront passer, d'autres continueront de cogiter, méditer, s'interroger et même s'intéresser.
Passe, passe le temps, d'un bout de mon regard, je fais un flash vers toi, à moins que non, vers toi.
Seriez-vous donc les mêmes ? Minute papillon, je vérifie les thèmes.
Les thèmes, à moins que Taime...
Thème où T'aimeras pas, un vaste théorème, seul l'avenir dira si tu sais où sais pas !
Moâ je ne te le dis pas, car qui sait, reste coi...
un point c'est tout, un point c'est moâ !
Petit Roseau - Nathalie K
© Texte impro - post-it & Photo
♪ Fallait lire entre “mes” lignes ♪
À l'image d'un bouclier anti-stress, tristesse, détresse, les phrases positives fleurissent sur tous les réseaux sociaux ; nous devons être nombreux à être bancal dans nos vies.
Aurions-nous besoin de ces messages courts si tout allait bien dans nos cœurs et nos pensées profondes ?
Comme seule la musique est à présent, huumm, depuis un long moment maintenant,
mon “cocon réconfort” , je suis donc
“ Zazie'Zen ” …
À vous ! Oups… et vous ?
♪ Tu me suivras... ♪
Je viens de faire une belle découverte musicale grâce à l'Atelier de Cédric
Je vous propose de découvrir Gael Faure avec TU ME SUIVRAS...
Si comme moâ vous aimez les belles histoires musicales & l'envers du décor, poursuivez ...
Encore & encore... l'envers d'un tournage
On dirait l'Islande...
Gael Faure...
Post-Scriptum :