♪ Me voilà... ♪
maintenant...
Un peu d’espoir,
un peu d’amour,
que tu ne vois pas en plein jour...
Il y a des voix, des images, des mots, des notes qui savent me porter loin bien loin... éveiller l'émotion que j'aime j'aime...
Pourquoi Regardes-Tu La Lune ?
elle se reflète dans tes yeux,
elle y déverse sa lumière bleue
la lune est pleine
ce soir c'est beau
on pourrait peut'être prendre une photo...
Anouk Aïata
Je crois qu'il faut beaucoup plus que du temps pour oublier quelqu'un comme toi...
Est-ce que mourir ressemble à ça ?
J'aurais du te courir après me jeter à tes pieds...
Oui j'aurais du te retenir avec ce que je n'avais pas
Tu vois je dis n'importe quoi...
Et tu t'éloignes et tu t'éloignes et je n'y fais rien...
Et de derrière la vitre je regarde tous nos projets...
L'amour m'a tué...
Cali
Paroles & musique
(extrait'mélangé)
j´ai pas écrit d´autobiographie
je viens d´un pays étrange où les gens s´aiment et se déchirent
et sont capables du meilleur comme du pire
Je suis né sur une petite orange bleue
au milieu d´un monde immense et silencieux
et elle tourne et elle tourne, petite orange bleue
entourée d´étoiles et d´un ciel mystérieux
C´est ma terre
mon histoire, mon mystère
c´est ma terre
moi son grain de poussière...
Quand j´ l´ai vue traîner le long de mon avenue
Malgré ma canne blanche, je l´ai vite reconnue
Avec ses yeux peints couleur mélodrame
On fait tout c´ qu´on peut du temps et d´ son âme
J´attendais la nuit à l´ombre de l´usine
J´ regardais ma vie comme un vieux magazine
Le vent était chaud, le ciel plein de rouge
Elle marchait sur un bateau qui bouge
Elle est v´nue vers moi pour m´apprendre mon rôle
Quand ma solitude n´était vraiment pas drôle
J´ai senti l´orage quand ma voix s´est cassée
Mais déjà je dansais comme un clown sur la trace de Salomé
Y avait dans son lit quelques cartes égyptiennes
Elle m´a demandé de deviner la mienne
Plongeant dans mes yeux, elle jouait les sirènes
Moi j´étais son fou, elle était ma reine
Avant de sortir, j´ai volé toutes ses cartes
J´en f´rai des souvenirs pour ses amants qui partent
Elle semblait dormir, j´ai cru qu´elle rêvait
Ma chance est fragile, fallait pas l´user
En sortant, c´est marrant, j´ai pas fait de vacarme
Mais j´ai vu ce fou s´ pendre au signal d´alarme
Une fois dans la rue, j´ai enfin respiré
Il pleuvait mais le vent de minuit a chanté pour Salomé
J´entends l´ pauvre Oscar appeler saint Jean-Baptiste
Pour lui demander si l´ temps qui passe existe
Sur le bord du puits, quand l´autre a maudit
L´ombre en plein midi, personne n´a compris
Oscar est parti sous la nuit d´équinoxe
Il a juste laissé sa paire de gants de boxe
Tout était en place, le rideau s´est l´vé
Les juges ont crié : Place aux condamnés
Tout ça peut paraître une bien étrange histoire
La morale est loin dans l´ fond de ma mémoire
Une bille a sonné comme un vieux bouclier
Quand le vent tournera qui venait me parler de Salomé.
Jean-Patrick Capdevielle
Ω Ω Ω
Ecoute un peu mes mots...
Elle parle jamais d´hier, pour elle demain c´est trop loin
Elle peut pas tomber, y a rien qui la protège
C´est juste une collectionneuse de sortilèges
A minuit quand tous ses bracelets sonnent
Elle est comme personne
Quand le soleil qui plonge à la fin du jour s´élance
En reflets chiffonnés noués sur ma vitre,
La buée de sa bouche enfièvrée m´évite
Même le silence me crie "Abandonne!"
Elle est comme personne
Ecoute un peu mes mots
T´en vas pas, petite,
Toutes mes forces me quittent
J´ai jamais voulu te voler
Ni t´arracher
Les haillons, les larmes et les chaînes
De tout ce que t´app´lais
Ta liberté
J´ose pas me regarder dans l´eau que ses mains retiennent
Elle dit "De quoi t´as peur?" et mon orgueil explose
Les portiers de ma raison se sauvent
Le jeu de ses doigts m´emprisonne
Elle est comme personne
Quand tout l´monde est courbé sous le vent des fausses nouvelles,
Quand les écrans des théoriciens malades
Vomissent leurs mots venin, elle s´évade
Quand le vent muet tourbillonne
Elle est comme personne
Ecoute un peu mes mots
T´en vas pas, petite,
Toutes mes forces me quittent
J´ai jamais voulu te voler
Ni t´arracher
Les haillons, les larmes et les chaînes
De tout ce que t´app´lais
Ta liberté
Moi j´avais seulement connu deux ou trois nuits clandestines
Et soudain mes passions soldées carillonnent
Ma cour est vide et mon escalier résonne
Elle reprend jamais les pleurs qu´elle me donne
Elle est comme personne
Elle a jamais d´mandé l´brouillard de mes serments vides
Et quand j´ai mal j´me plains pas d´la brûlure
J´suis venu seul à g´noux devant sa serrure
Quand mes derniers espoirs plafonnent
Elle est comme personne.
Ecoute un peu mes mots
T´en vas pas, petite,
Toutes mes forces me quittent
J´ai jamais voulu te voler
Ni t´arracher
Les haillons, les larmes et les chaînes
De tout ce que t´app´lais
Ta liberté...
Jean-Patrick Capdevielle
Je n´étais qu´un fou mais par amour
Elle a fait de moi un fou, un fou d´amour
Mon ciel c´était ses yeux, sa bouche
Ma vie c´était son corps, son corps
Je l´aimais tant que pour la garder je l´ai tuée
Je ne suis qu´un fou, un fou d´amour
Un pauvre fou qui meurt
Qui meurt d´amour
C'est la vie !
Il ne faut plus faire semblant...
La vie c'est du vent...
Incroyable découverte, moment magique, pour une chanson que j'aime, j'aime...bon, je sais, je suis une inconditionnelle de Jean-Louis Murat.
J'aurais bien aimé qu'il vienne me chanter un p'tit air ce soir (sourire) mais hélas...
Instant rare à déguster sans modération
J´avais perdu l´habitude
Le sentiment profond de solitude
Je ne m´apercevais pas
Que tu étais derrière chacun de mes pas...
Post-scriptum:
Cher Hubert Félix comme je t'aime et lorsqu'on aime on ne compte pas !
Ce titre déjà présent sous d'autres cieux, reste et restera un souvenir précieux, alors oui, j'en re-veux...
et même si cela provoque parfois “ une fièvre résurrectionnelle” ...
En passant par là...
elle s'est jetée sur moi,
on peut s'y perdre pour toujours
les notes s’envolent comme “ petit'elle „
Comment rester indifférente lorsque Louis Bertignac joue du Jimi Hendrix ? Moâ, je n’sais pas.
Je dis seulement : merci
♪ Petite Aile ♪
Elle marche au travers des nuages
Avec un esprit de cirque
Qui court librement.
Papillons, zèbres et rayons de lune
Et des contes de fée
C'est la seule chose à laquelle elle pense...
Chevaucher le vent
Quand je suis triste, elle vient vers moi
Avec mille sourires
Qu'elle me donne gratuitement
Tout va bien, elle me dit,
Tout va bien
Prends tout ce que tu veux de moi
Tout.
Vole, petite aile…
Louis Bertignac Ω Jimi Hendrix
Parce que j'aime, j'aime...
Sans doute vous souvenez-vous de mon article clin d’œil il y a quelques semaines à ~ Franka de Mille ~ pour qui j’ai eu un véritable coup de cœur musical.
Voilà que ce matin je découvre dans son univers, un nouveau titre Ω ~ Come on ~ Ω. Ce dernier, extrait de son album ‘ Bridge the roads ’ qui sortira le 25 octobre 2012.
La création vidéo qui accompagne sa voix mérite mille étoiles...tant par la beauté, l’originalité, le rêve, le voyage, vous l’aurez compris, j’ai littéralement craqué.
Aussi, Dear Franka, j’envoie également mon cœur et toutes mes félicitations à ~ Vjekoslav Zivkovic ~ qui a réalisé ce court-métrage.
Je vous propose, chers ΅ passants ΅ du jour ou de la nuit, d’écouter l’histoire…
C' est toujours par la voix de mon cher Jean-Louis qu'il vient à moi.
Un Grand Lièvre ignorant, mais enfin... qu'est-ce que ça veut dire ?
Don't Give Up
Dans cette fière contrée nous sommes devenus forts
Nous étions demandés
On m'a appris à me battre, on m'a appris à gagner
Je n'ai jamais pensé que je pourrais échouer
Plus de combat à mener, en tout cas il semble
Je suis un homme déserté par tous ses rêves
J'ai changé de visage, j'ai changé de nom
Mais personne ne veut de toi quand tu perds
Ne baisse pas les bras
Car tu as des amis
Ne baisse pas les bras
Tu n'es pas encore vaincu
Ne baisse pas les bras
Je sais que tu peux y arriver
Bien que j'ai repensé à tout ça
Je n'ai jamais cru que je pourrais être affecté
Bien que nous étions les derniers à partir
Les choses prennent un cours si curieux
J'ai conduit la nuit, dans la direction de chez moi
L'endroit où je suis né, sur les bords du lac
Au lever du soleil, j'ai vu la terre
Les arbres calcinés reposaient sur le sol
Ne baisse pas les bras
Tu nous as toujours
Ne baisse pas les bras
Nous n'avons pas besoin de grand chose
Ne baisse pas les bras
Car il y a un endroit quelque part
Où nous avons notre place
Détends-toi
Tu t'inquiètes trop
Ca va aller
Quand les temps sont durs
Tu peux compter sur nous
Ne baisse pas les bras
S'il te plaît, ne baisse pas les bras
Je dois quitter cet endroit
Je ne peux plus le supporter
Je vais rester sur ce pont
Les yeux regardant en bas
Peu importe ce qui se présente
Ou ce qui nous quitte
La rivière s'écoule
La rivière s'écoule
Déménageant dans une autre ville
Se donnant du mal pour s'établir
Pour chaque emploi, tant d'hommes,
Tant d'hommes dont personne n'a besoin.
Ne baisse pas les bras
Car tu as des amis
Ne baisse pas les bras
Tu n'es pas le seul
Ne baisse pas les bras
Il n'y a pas de quoi avoir honte
Ne baisse pas les bras
Nous sommes avec toi
Ne baisse pas les bras
Nous sommes fiers de ce que tu es
Ne baisse pas les bras
Tu sais que ça n'a jamais été facile
Ne baisse pas les bras
Car je suis convaincu qu'il y a un endroit
Un endroit où nous avons notre place...
Peter Gabriel & Kate Bush
J'ai beaucoup aimé le film, la musique n'en parlons pas, j'ai acheté l'album il y a de nombreuses années afin d'avoir aussi tous les thèmes.
Juste une seconde,
fermez les yeux et faites comme moi,
écoutez...
***Sans oublier la version magique à la guitare (...) de mon ami Jean-louis
Il y a de nombreuses années que je suis et me laisse porter par cette voix si particulière, qui, si l’on n’y prend pas garde, vous enveloppe d’un voile de douceur sensuelle.
A la fois nostalgique, romantique, entre amour et sentiments, Nilda Fernandez me fait voyager au travers du temps et de son histoire ; je ressens à chaque note cette fragilité, sensibilité qui le caractérise et qui me fait l’aimer.
Il sait me toucher pile côté cœur…
Je vous invite à l’écouter présenter son album et découvrir cette superbe chanson « Les sentiments forts », impossible de résister.
Les mots, la voix, la musique, j’aime, j’aime…
Les sentiments forts
J'aime au bout de tes doigts
tes ongles qui bougent
j'aime au bout de tes doigts
tout ce qu'ils touchent
J'en ai tellement besoin
que j'en suis à me dire
j’aime au bout de tes mains
mon avenir…
Vive les sentiments forts
L'amour plus fort que la mort
Vive l'union de l'âme et du corps
Vive les sentiments forts
J'aime autour de tes yeux
Les ombres qui passent
J'aime autour de tes yeux
Tout ce qu'ils cachent
J'en ai tellement rêvé
que j’en suis à me dire
J'aime autour de tes yeux ton avenir…
Vive les sentiments chauds
l'amour plus haut qu'un drapeau
vive l'union du feu et de l'eau
vive les sentiments forts
l’amour plus fort que la mort
Vive l’union de l’âme et du corps….
j'aime au bout de mes doigts
tes lèvres si rouges
j'aime au bout de mes doigts
tout ce qu'ils touchent
Vive les sentiments doux,
l'amour qui tend l’autre joue
Vive l’union du sage et du fou
Vive les sentiments forts
l’amour plus fort que la mort
Vive l’union de l’âme et du corps…
Vive les sentiments forts…
Nilda Fernandez
Raconte Nilda, j'écoute...
Pour mon plaisir et en écho à l'article de ma p'tite feuille sur l'île de Ouessant, ce merveilleux titre de Julien Clerc écrit par l'un des Jean-Louis de ma vie, Murat-Bergheaud pour ne pas le nommer
Quand femme rêve...
Un cerf-volant
Fort sous la neige
Docile au vent
Un attelage
Un traîneau
Passe au plus près
De ma peau
Toujours l'entraîne
Le goéland
Le coeur en peine
Vers Ouessant
L'entraîne
Le goéland
Là-bas
Vers Ouessant
Prince de Clèves
Rue Corvisard
Prisonnier d'elle
Sous un hangar
Où elle extrait
La moelle de mes os
Comme fait busard
Au louveteau
Pour du bonheur
à partager
Elle prend mes je t'aime
Mes baisers
Comme grand lézard là-haut
Elle boit mon sang
Comme l'eau
Toujours l'entraîne
Le goéland
Le coeur en peine
Vers Ouessant
L'entraîne
Le goéland
Là-bas
Vers Ouessant
Quand femme rêve...
Un cerf-volant
Fort sous la neige
Docile au vent
Un attelage
Un traîneau
Passe au plus près
De ma peau
Julien Clerc - Jean Louis Murat-Bergheaud
Un retour sur mon adolescence par quelques ricochets, même si c'est une version plus rythmée de « Forever young » que j'ai en tête.
D'un film, « Pour lui », vers un réalisateur, jusqu'à un acteur, à nouveau un réalisateur, Jean-Luc Godard (1965) me voilà avec Alphaville et des milliers de souvenirs, j'aime ça...